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12 juin 2012 2 12 /06 /juin /2012 15:34

dans le cadre de la république irréprochable qui est en marche ,on a eu droit au smig de Valls,le Salaire du ministre de l'interieur de Gauche,a deux épisodes son attribution honteuse de 1700 euros mensuels sur evry et piteuse ,le retrait de cette indemnité devant le tollé général

comme je vous le disais on ne va pas s'ennuyer avec les "marx  brothers,"pendant martine aubry,cecile duflot foncent dans les charentes maritimes au secours de pyraléne royale, et que francois hollande se fend d'un courrier de soutien a son ex,

voilà que la compagne du président dont on sait plus si elle est pour la circonstance journaliste,miltante ou femme jalouse et revancharde,on ne sait pas si cela vient de son cabinet rénuméré par la république,ou de ses petits doigts acérés sur son téléphone,en tout cas elle  envoie sa déclaration qui fait désordre

 

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comme dirait didier,je crois que certains vont préférer les mamies qui s'occuppaient des pieces jaunes !

 

heureusement que marine lepen est là pôur sauver la gauche,sa fameuse liste noire est ressortie,désormais ,nous allons guetter sur nos facades et sur nos portes ,que l'on vienne nous marquer nous aussi

il va falloir que les républicains fassent un choix ,celui d'envoyer un message glacial a la nation ,celui que la liberté d'expression,d'opinion ne sont pas un de nos principaux fondamentaux,que nous nous laisserions manipuler au déficit de la république.

moi j'en appelle les républicains a répondre aux imprecations, aux fatwas de madame lepen,sinon le message serait terrible et nous nourririons la gangrène.

bien plus que le sort d'un siége,c'est beaucoup plus que le front national veut enclencher et j'en appelle aux consciences

 

 

 

 

 

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commentaires

F
@plumeauvent... c'était un raccourci.... mais qu'importe, marine Le Pen est bien allé valser aux bras de "néonazis" qui s'ils n'étaient pas waffen SS, étaient d'une façon ou d'une autre, on la<br /> retrouve par ailleurs en photo s'affichant avec un de ces "anciens"...<br /> je parle de Marine Le pen ici et des positions du parti qu'elle incarne.... Il est facile de détourner la discussion en mettant l'accent dur Eva Joly... du style, c'est pas moi, c'est l'autre...<br /> restons s'il vous plait sur ce Front National qui en dépit du "maquillage" et de l'escamotage de ses pires partisans pour ne pas effrayer le français moyen, malgré ce toilettage reste un parti<br /> d'idéologie fasciste... quant à la préférence nationale, j'ai lu votre article, historiquement intéressant...<br /> permettez moi de vous conseiller une autre lecture donnant un point de vue différent.<br /> <br /> Philippe Legrain : Immigrants : un bien nécessaire<br /> <br /> Dans cet essai, fruit d'un long travail de recherche et d'enquêtes de terrain, l'économiste anglais Philippe Legrain brise nos préjugés et nos idées fausses et NOUS interpelle, nous, habitants des<br /> pays riches. Il démontre que la libre immigration des pays pauvres vers les pays riches constitue un « bien nécessaire » autant aux uns qu'aux autres.<br /> <br /> Alors que les frontières nationales deviennent de plus en plus poreuses, les pays riches érigent murs et barbelés… car les frontières sont mentales entre « nous » et « eux ». Le vieil instinct<br /> tribal nourrit la peur de nous voir envahis par des étrangers… Alors que l'on encourage les migrations de professionnels qualifiés –l'élite occidentale –, entre pays riches, on n'accorde qu'un visa<br /> de travail aux diplômés venus des pays pauvres et on repousse les migrants sans qualification – jugés fainéants et incapables –, au prétexte qu'ils menaceraient nos emplois, notre identité<br /> nationale et notre sécurité… Le vrai problème en Europe, selon Legrain, ce sont les extrémismes en tout genre. En réalité, la majorité des migrants prouve son courage et son désir d'intégration ;<br /> la plupart des travailleurs musulmans se plie aux règles de la République.<br /> <br /> Nous avons besoin d' « Eux »: c'est une nécessité économique. Au vieillissement de la population active des pays riches s'ajoute une faible natalité (la France exceptée): les immigrés constituent<br /> notre moteur économique, une source d'innovation et un sang neuf pour la productivité européenne. En plus d'accepter les emplois que nous ne voulons plus occuper (nettoyage, service, restauration),<br /> ils assurent les services à la personne (personnes âgées, gardes d'enfants…) La volonté des pays riches d'endiguer l'immigration venue des pays pauvres tient du paradoxe ; notre conception de la<br /> justice et de la solidarité, nos prétendues valeurs de tolérance et de reconnaissance de la diversité ont-elles donc des frontières?<br /> <br /> Ces « autres », migrants des pays pauvres, ont besoin de « nous ». Le flux migratoire va s'amplifier car dans les pays pauvres le nombre de jeunes, diplômés ou non, qui cherchent du travail ne<br /> cesse de croitre. L'immigration est un bienfait pour ces pays : l'argent envoyé par les émigrés est la meilleure façon de les aider à se développer, plus efficace que l'aide au développement : très<br /> insuffisante et souvent détournée, elle ne profite pas aux plus nécessiteux. En outre, l'exode massif et définitif des diplômés des pays pauvres leur nuit : il faut encourager leur retour dans leur<br /> pays d'origine pour contribuer à son émergence.<br /> <br /> <br /> « La migration internationale est la suite logique de la mondialisation des produits et des services : il est raisonnable d'accueillir ceux qui fabriquent ces produits et offrent ces services. »<br /> Libéraliser et légaliser l'immigration des pays pauvres supprimerait les passeurs et les entorses au droit du travail. Afin de mieux « vivre ensemble » « NOUS » devons accueillir la diversité –<br /> source d'enrichissement économique et socio-culturel – ; « EUX » doivent respecter les lois et principes fondamentaux des sociétés d'accueil. Pour une justice économique mondiale, « libérons les<br /> peuples! »<br /> <br /> Philippe LEGRAIN<br /> IMMIGRANTS - Un bien nécessaire<br /> Traduit de l'anglais par Marie-Cécile Attanasio<br /> Editions Markus Haller, Genève, 2009, 415 pages.
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C
http://christianschoettl.over-blog.com ou l'art de partir en cacahouette... Démarrer de propos politiques standards et finir par parler de l'éventuelle attitude des comunistes pendant la deuxième<br /> guerre mondiale et des Waffen SS.<br /> On pourra parler de fascisme, d'Hollocaust, lorsque nous aussi, auront un parti Nazi en France...<br /> Je dois effectivement être sectaire pour ne pas voir l'intêret de cette déviation.<br /> <br /> Maintenant le "prisme sectaire" qui m'empêche de réfléchir, ne me voile pas la vue. A défaut d'amitié politique, une photo d'une élue d'une autre commune lors de la célébration du premier mai. Afin<br /> de bien marquer le lien qui vous uni.<br /> <br /> Qu'ai je droit réellement comme réponse construite ? Excepté le fait que manifestement je manque de respect aux élus locaux, malgrès mon ton que je pense relativement courtois. Excepté le fait que<br /> je me vautre avec véhemence dans le sectarisme le plus total.<br /> Tellement sectaire le mec qu'il vote pour vous, à la mairie de Janvry. Même si nos idées ne sont pas du tout les mêmes. Car il pense que le boulot fait pour la commune est bénéfique. Merde sectaire<br /> et surement "con" donc ?<br /> <br /> Pour ce qui est de la manifestation du FN chez vous. Quel était le rapport direct avec mon post ?<br /> <br /> Mais me suis je peut être fourvoyé en pensant que l'on pouvait discuter, débattre de nos idées, sans recevoir, tel un camouflet, des phrases d'un ton dédaigneux et permissif (ayez un poil de<br /> respect ???)<br /> Telle est la politique, impossible d'en parler avec quelqu'un dont les idées sont différentes.<br /> Mais les posts à venir peuvent être plus punshys, si la volonté du créateur de ce post va dans ce sens.
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C
<br /> <br /> c'est juste que ma réponse n'était pas adréssée a votre commentaire ,sur internet on fait oups !<br /> <br /> <br /> <br />
P
Il est navrant Monsieur Panigada de vous voir ressortir les clichés mensongers de Marine Le Pen valsant avec les anciens Waffen SS. Ces Waffen SS s'ils sont encore vivants ont dû être conservés<br /> dans le formol pour être encore en état de valser. Je constate que vous ignorez tout des fraternités autrichiennes dont l'une a invité Madame Le Pen. Je vous conseille la lecture de cet article de<br /> l'Union des Français Juifs qui vous éclairera utilement sur ce sujet.<br /> Puisque vous vous complaisez à dénoncer les nazis, sachez que je rejoins cette préoccupation, aussi je vous soumets le cas de Madame Eva Joly, candidate d'Europe Ecologie les Verts qui n'a pas<br /> hésité à comparer Gaza à un camp de concentration, organisé par l'Etat d'Israël. Voilà donc les Israéliens, des Juifs comparés à des nazis. A moi ces propos de Madame Joly me paraissent<br /> l'expression d'une antisémite. Je ne connais pas Gaza mais Israël aussi j'ai consulté le site de l'Office du Tourisme de Gaza...et je n'y ai vu aucun rapport avec un camp de concentration.<br /> D'autre part, j'espère que vous aurez le temps de lire l'article de Marianne que je vous ai transmis évoquant l'origine de "la préférence nationale" si souvent reprochée à Marine Le Pen. Je vous<br /> remercie de votre attention.<br /> http://uniondesfrancaisjuifs.fr/bernard-henri-levy-la-honte-des-francais-juifs/
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P
@Francis Panigada hier<br /> Je lis toujours vos commentaires avec beaucoup d'intérêt. Permettez-moi d'alimenter vos réflexions avec cet article paru dans Marianne au mois d'avril 2009 :<br /> <br /> Marianne : « La préférence nationale vient de la gauche »<br /> <br /> Publié le 1 avril 2009 par<br /> <br /> <br /> Share<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Depuis le collage sur les murs de France de nouvelles affiches du Front National faisant référence à Jean Jaurès et Roger Salengro, on peut observer chez de nombreux socialistes une relativisation<br /> voire une négation des mesures prises avant guerre par la gauche en faveur de la préférence nationale à l’embauche.<br /> <br /> Les bonnes consciences de gauche se disent indignées par ces affiches : ces lois de préférence nationale n’auraient jamais réellement existé en France ou leur application serait en grande partie<br /> exagérée par pure démagogie électorale.<br /> <br /> Le sociologue Christian Jelen n’étant pas vraiment catalogué comme « d’extrême droite », il nous a semblé opportun de réexhumer cet article paru dans Marianne le 22 juin 1998 et intitulé « La<br /> préférence nationale vient de la gauche ». Une façon polie de demander à la gauche actuelle de faire son devoir de mémoire.<br /> <br /> <br /> La préférence nationale vient de la gauche<br /> <br /> <br /> Il suffit de parler de préférence nationale pour déclencher l’hystérie des prêcheurs du conformisme pluriel, le Monde, Les Verts, les trotskistes, les gauchistes de FO et de la CFDT, les<br /> communistes, certains socialistes, des chefs du RPR et de l’UDF, etc. «La préférence nationale, martèlent-ils, c’est Le Pen, c’est l’extrême droite.» Désolé de les contredire: la préférence<br /> nationale n’a pas été inventée par Le Pen. Elle ne date pas non plus de Vichy. Elle plonge ses racines dans l’histoire du mouvement ouvrier. D’où sa résonance dans l’électorat populaire.<br /> <br /> La protection des travailleurs nationaux est au coeur des débats de la 1re Internationale, créée en 1864 à Londres. Ses fondateurs, dont Karl Marx, veulent contrôler les mouvements de main-d’oeuvre<br /> afin que les patrons ne puissent recourir aussi facilement aux travailleurs étrangers pour briser une grève ou faire baisser les salaires. Vers la fin du XIXe siècle, tant qu’il y a de l’embauche,<br /> les ouvriers parisiens ne songent pas à demander l’expulsion des étrangers, d’autant que ceux-ci, déjà, se chargent des besognes les plus dangereuses ou les plus viles. Mais, dès que la crise<br /> économique éclate, la présence des étrangers est remise en question. Faut-il s’étonner que les premiers décrets restreignant le travail des étrangers en France aient été signés en août 1899 par<br /> Alexandre Millerand, premier socialiste membre d’un gouvernement ?<br /> <br /> La préférence nationale est au centre des débats du syndicalisme ouvrier, aussi bien avant 1895, année de naissance de la CGT, qu’après. Pour les syndicalistes, des immigrés trop nombreux forment<br /> la réserve du capitalisme dont parlait Marx. Les patrons s’en servent pour diminuer les salaires. Pour ne pas en arriver à une situation conflictuelle, la CGT préconise un strict contrôle des flux<br /> migratoires.<br /> <br /> En 1915, en pleine guerre, la CGT pose la question des ouvriers étrangers: «On ne peut pas les faire venir là où la main-d’oeuvre locale est suffisante… Il faut ensuite assurer aux immigrants un<br /> salaire égal à celui des ouvriers nationaux employés dans la même profession.» La création d’un Conseil supérieur de l’importation de la main-d’oeuvre étrangère est exigée. Après 1920, la CGT non<br /> communiste, majoritaire, proteste contre l’immigration clandestine et les faux réfugiés politiques, surtout à partir de 1931, quand la France subit la crise économique. La SFIO, par la voix de Léon<br /> Blum dans le Populaire, admet qu’«en temps de crise, toute immigration supplémentaire doit être suspendue. [...] Pour prévenir les conflits possibles entre chômeurs français et travailleurs<br /> étrangers.» Et leur prévention exige un contrôle des flux migratoires.<br /> <br /> La crise s’aggravant, la gauche vote ou fait voter des lois de préférence nationale (loi Herriot de 1932 et décrets-lois Daladier de 1938), d’une grande brutalité. Lors de son congrès de Royan, en<br /> 1938, la SFIO admet que «la France ne peut pas supporter à elle seule la plus grosse part des charges découlant du droit d’asile» des réfugiés allemands, autrichiens, juifs, espagnols… Cinquante<br /> ans avant Rocard, Blum et ses amis reconnaissent que la France ne peut pas «accueillir toute la misère du monde».<br /> <br /> Après la Libération, ainsi que François de Closets le rappelle dans le Compte à rebours (Fayard), la gauche a largement contribué à faire bénéficier le secteur public de la préférence nationale.<br /> Des artistes ont aussi accès à ce privilège. Ainsi, la France statutaire bénéficie de la préférence nationale, mais la refuse à la France précaire. C’est une situation aberrante, malsaine. Que nos<br /> dirigeants, de gauche ou de droite, devraient aborder avec courage. Sans sombrer dans les petites lâchetés ou l’hystérie.<br /> <br /> <br /> Source : Marianne
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O
Francis, tu as remarquablement expliqué ce qui pourrait advenir dans un néfaste futur proche. Espérons tous la clairvoyance des citoyens pour l'avenir de la France.
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