Décidement,il y a des liens de parentés..;sur notre territoire un maire a fait des pieds et des mains pour essayer d'empêcher le déroulement d'une manifestation ludique au prétexte que celle ci était animée par des gens qui s'étaient présentés contre lui aux élections..Une conception très particulière d'un village en liberté....
A grigny ,c'est mon ami guillaume,qui essuie les mêmes méthodes :
On reconnaît une démocratie à la façon dont une majorité traite son opposition…A Grigny, on oubliera donc le mot démocratie.
Depuis des semaines, nous avons sollicité par courrier, la mairie de Grigny pour l’obtention d’une salle afin d’y organiser une réunion publique à l’occasion des élections cantonales.
Impossible d’avoir une réponse…l’instrumentalisation du pouvoir municipal au service de certain candidat est totale.
Il est nauséabond ce système qui veut réduire au silence toute forme d’expression. Après des relances, des appels téléphoniques innombrables, nous constatons que tout est mis en œuvre pour nous empêcher de nous exprimer et de nous réunir.
Ces méthodes inadmissibles, nous y sommes confrontés aussi dans les cages d’escaliers, sur le marché, où des nervis énervés nous ont expliqué que nous n’étions pas les bienvenus et que seuls, Monsieur Vazquez et Madame Ogbi avaient le droit de distribuer des tracts !
A chacun sa milice …
Ces méthodes d’un autre âge, cette atmosphère brutale, cette chape de plomb nous confirment dans le désir de changer la vie à Grigny
guillaume Epry