tous les moyens sont bons pour notre gouvernement a faire taire les rebelles,
tel maire vient de se voir offrir 70 000 euros pour construire un parking a condition qu'il ouvre le mercredi ,tel autre vient de se voir proposer un report,la liste incroyable de ces tentatives de briser le front du refus est étonnante
pour ma part je serai au tribunal de versailles en compagnie de 14 autres maires de l'essonne,najat tu comptes vraiment mal ou tu mens,
le prefet désespéré de me mettre au tribunal a joint comme pieces a convictions pouvant me confondre les pages de mon blog de cet été !
je suis certain que les juges de versailes vont être passionnés par mes "chroniques d'eternation" où j'evoque les vacancers ,la culture de l'olivier ou les tomates de mon ami pierre,certain que l'artcle où mon ami luc guirard a opéré mon chien va les passionner !
on atteint des sommets de ridicule qui prêteraient a rire s'il ne s'agissait pas du fonctionnement de notre démocratie
a moins que ces deux articles me moquant de francois hollande aient semblé utiles au préfet pour montrer que j'étais un dangereux opposant qu'il fallait briser !
de fait,un blog personnel qui n'est pas le site officiel de la commune exprimant mes opinions ,jouisssant d'une liberté d'expression,adn d'une democratie est lu ,regardé et instrumentalisé par des fonctionnaires comme des preuves a charge,a quand les écoutes téléphoniques ?
ceci révèle la panique qui régne car l'édifice se fissure ,et va peut être s'écrouler,samedi c'était un prefet qui était débouté devant un maire qui avait cadenassé son école mais l'on pouvait penser que l'acceptation de celui ci de l'ouvrr le mercredi suivant
on pouvait penser a une indulgence du jury sauf que le coup de tonnerre du jour a eu lieu en normandie
Première victoire à Ganzeville prés de Fécamp : alors que la commune fait office de village gaulois dans le paysage scolaire, le juge des référés vient de donner raison aux élus qui ont cadenassé l’école mercredi 3 septembre 2014 en signe de protestation contre la réforme des nouveaux rythmes scolaires. À l’unanimité du conseil municipal, les élus, menés par Jean-Marie Crochemore, maire, avaient décidé de ne pas appliquer cette réforme cette année, prenant ainsi une délibération et un arrêté pour fermer l’école le mercredi. Mercredi 3 septembre, donc, l’école était cadenassée, empêchant les 75 élèves d’entrer. Dès la rentrée, les élus avaient distribué des tracts aux parents d’élèves pour expliquer cette décision : le maire et l’ensemble du conseil municipal ont ainsi rappelé le coût induit par cette réforme pour la commune, leur refus de mettre en place des activités payantes ou sans intérêt pour les enfants, leur impossibilité de mettre des locaux à disposition à proximité de l’école… Le préfet a pris acte de ce choix et a saisi, le jour-même, le juge des référés au tribunal administratif de Rouen. Il demandait ainsi l’annulation de la délibération du conseil municipal refusant le mise en œuvre de la réforme à Ganzeville et de l’arrêté municipal de fermeture de l’école le mercredi matin. Vendredi 5 septembre, le préfet de la Seine-Maritime a été débouté de toutes ses demandes, le juge des référés estimant que cette décision de la commune n’avait pas pour effet de réduire la durée obligatoire d’enseignement. Les 24 heures d’enseignement pouvant être réparties sur 8 et non 9 demi-journées, les activités pédagogiques complémentaires pouvaient être proposées après la classe. En ce sens, il n’y a pas, pour le juge administratif, d’atteinte au principe d’accès à l’éducation.
ces jurisprudences nous donnent de varis et grands espoirs ,elles mes confortent pour notre recours au conseil d'état
je vous laisse,une pensée pour evelyne ,nicolas et les maires du forez qui sont passés a la casserole cet apres midi en espérant que le tribunal continue sur la lancée des autres
on ne lache rien !