En terme de culture ,nous avons assisté depûis quelques années a une politique clientéliste,hyper politisée,digne des pays de l'est a la plus grande époque :
qui sait ,par exemple,que les élus du conseil général interviennent sur le choix des livres dans les bibliothèques ? Il y a dex choix de lecture subventionnés et d'autres qui ne le sont pas,ce sont des politiques qui décident ce que nos bibliothéques peuvent nous offrir comme type lecture,cela vous rappelle quelque chose ? D'autres époques. ...
Je l'ai déja évoqué,mais il ya eu des aventures ahurissantes comme Effervessonne,où je pourrais publier les documents originaux des professionnels qui hurlaient au gachis financier ,au n'importe quoi culturel,géré par une association de "copains" interdite aux élus du conseil général qui ne montraient pas "patte rose".
Effervessonne, au bas mot 10 millions d'euros partis en fumée,et quand je parle de fumée,c'est juste pour faire le joint....
Il y eu ce cirque itinérant ,imposé par le 1)secretaire fédéral du parti socialiste qui nous a couté des centaines de milliers d'euros sans que personne ne dise rien,il ya cette énormité de dépenses sur l'"art contemporain" a Chamarande,un gouffre démentiel dont aujourdhui encore,on ne connait pas les montants qui ,eux aussi, a l'addition se chiffrent a des millions d'euros,pour un résultat qui consterne les créateurs essonniens qui se sentent abandonnés.
Une politique du copinage,dont je pourrai publier les documents pour preuve,sans le moindre souci ni des deniers publics, ni d'accompagner la floraison des talents qui existent
Pour que la culture soit vivante,il faut que chacun se l’approprie,une culture plaquée ,venue d’ailleurs,ne laissera aucune trace,ne créera aucun lien ,ce sont les peuples musiciens qui facilitent la création musicale,c’est bien parce que le peuple milanais aime l’opera que la scala existe,et sans les milanais, pas de scala.
Quand je dis ,venue d'ailleurs ,certains salopards ont voulu y lire de la xénophobie,quelle tristesse et quelle bêtise !
Rien ne sert d'avoir des livres ,si l'on ne sait pas lire,les fondamentaux sont donc là créer une culture de la culture,un terreau a la musque,la danse,le spectacle vivant,la poésie ou la peinture.
En essonne,il y a une richesse formidable d’acteurs culturels ,d’associations qui forment un tissu solide,c’est sur ces choeurs ,ces peintres,ces musiciens, ces danseurs,ces acteurs qu’il faut fonder un projet culturel qui pourra ainsi être profondément ancré sur la réalité locale.
Bâtir un projet culturel qui associe toutes les associations, tous les créateurs du territoire, les privilégier ! (j'ose l'écrire même si ce n'esyt pas politquement correct)
Dix fois financer la réunion de 300 choristes essonniens,plutôt que la venue d’un chanteur a la mode !
Dix fois aider les écoles de peintures,plutôt que de dépenser des centaines de milliers d’euros pour acheter de l’art contemporain improbable recommandé par le parti
Se donner les moyens de la création locale,a la fois dans les équipements et dans le fonctionnement
Utiliser le formidable levier du 1 % culturel pour soutenir cette création
je suis consterné de constater que toute forme de culture qui pourrait être diverstissante,populaire,locale est proscrite,interdite,condamnée par la gauche au conseil général : Moliere,Pagnol, Marivaux n'auraient été subventionnés par le conseil général :
,le vrai et massif financement va aux spectacles longs,ennuyeux et désertés par le public mais "intellectuels",un mot que certains se sont appropriés par manque de culture.
L’histoire prouve que ce sont les facilitateurs de culture et de création qui ont permis l’éclosion de talents,plutôt que ceux qui ont voulu encadrer et s’arroger le droit de juger
le conseil général doit devenir cet incitateur sur le terreau culturel essonnien
Acteurs plutôt que consommateurs !