Ce post ne passionnera pas grand monde mais il y a des hommages que je tiens a rendre dans ce petit monde politique essonnien.
Les élections régionales sont passées pour les électeurs,je veux dire par là que,désormais, certains élus vont reprendre leurs bonnes vieilles habitudes sans en tirer les leçons de fond,jusqu'au
prochain tremblement de terre ,sans mesurer que les séismes sont chaque fois plus forts sur notre échelle de "tricheur"',en espérant que le "big bang" ne soit pas la prochaine secousse.
A gauche,la triumvirat ,il s'agit de ceux qui se sentent pousser assez d'ailes pour dicter leur loi a michel Berson et a vouloir putscher au conseil général,le triumvirat avait considéré que
Michel Berson devait être atteint de grippe aviaire et jugé qu'il était "nuisant" pour la campagne,ces trois-là l'avaient donc confiné,comme j'ai pu le faire avec mes poules et mes oies.Une sorte
de répétition générale.
Michel Berson a bien des défauts,mais je trouve que nos "petits généraux" devraient travailler la moitié de ce qu'il travaille et ne pas le laisser assumer les conneries qu'ils commettent avant
d'avoir un comportement d'une telle violence.
un jeune loup qui mord au milieu de sa propre meute, du fait d'une ambition dévorante, devient rapidement aveugle et sourd,ceux là le sont déja.
Ils l'ont prouvé entre les deux tours des élections électorales,ils se sont enfermés dans la cuisine pour établir une nouvelle liste en rajoutant du vert et ont mitonné un mironton qui
n'avait plus grand rapport avec la composition du plat précédent, au mépris de la parole donnée et des règles déontologiques.
si j'osais, je dirais qu'en cuisine électorale ,ils ont mis "les potes au feu".
En fait,il y a une stratégie d'une poignée de conseillers généraux pour s'emparer de tous les pouvoirs, au coeur du dispositif,le conseiller général Carlos Da Silva,manipulé par qui on sait a
l'ambition sans limites d'apparatchik,aux calculs froids et cyniques ,l'homme qui s'est planté a corbeil ,l'homme aux cents notes de restaurants,l'homme qui a été payé par le conseil général
avant d'y être indemnisé.
Il piétine en rigolant ce qui se met en travers de son chemin.
la dernière herbe folle s'appelle Thierry Mandon,celui que Melenchon surnommait "combien de divisions ?"certainement le plus talentueux élu de gauche du conseil général,ce qui l'isole.
Je me souviendrai toujours de mandon un lundi ou un mardi de 1998,au lendemain d'une victoire déjeunant en tête à tête avec Berson dans un restaurant italien de la rue des mazieres et élaborant une
stratégie pour que ce dernier devienne président du conseil général.D'autres comme jean marc salinier poussaient fort au portillon.
Trop lisse,trop personnel, trop spartiate a certains points de vue,pas né dans la bonne famille politique ou dans le bon courant,l'interlocuteur le plus pertinent de l'opposition au conseil
général, du monde de l'entreprise,celui qui a un abord intelligent sur des problèmes aussi sensibles en essonne que la palestine est en fait cordialement détesté par un certain nombre de ses petits
camarades.
Dans la composition des listes,il avait obtenu que soit intégrée Kheira Gerenc,ancienne collaboratrice au conseil général,puis a la mairie de Ris Orangis, devenue élue (parcours classique au
PS).
Kheira est quelqu'un de bien, de sain, avec une énergie tranquille,elle était en dixième position au premier tour des régionales,mais elle avait comme défaut d'être proche de mandon,elle est passée
sans débat a une place inéligible par le fait des princes.
Comme Philippe Pascot,Thierry Mandon qui est pourtant un vieux routier s'aperçoit,un peu tard, qu'une forme d'épuration est en marche.
Thierry mandon exigerait la démission de Carlos Da Silva de sa place de premier secrétaire fédéral,ce qui doit bien faire rigoler celui-ci,Thierry devrait savoir qu'une fois que des squatters se
sont installés,on ne les expulse pas aussi facilement que cela, d'autant quand c'est soit même qui leur avons laisser les clés....