6 février 2010
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12:21
Je sais que le jeu de mot est facile,mais cela fait partie de l'actualité de notre secteur et il faut savoir qu'une catégorie d'individus m'interdisent d'en
parler.Ils pratiquent des méthodes fascistes a mes yeux où seul leur position compte et ou tout autre pensée est a réduire au silence par tous les moyens.
les commentaires qui vont suivre ce post en seront la démonstration.
Quoi de neuf ?
Rappel des épisodes précédents : le syndicat de l'hydraulique a décidé de réaliser toute une série d'ouvrages pour préserver les habitations des inondations,l'ouvrage majeur se situe au lieu dit "les canaux".
Le temps n'est plus à discuter du bien fondé du choix du site,cela a été voté et l'on sait que les élus ne font jamais n'importe quoi.
Là ,ou cela devient plus gênant c'est que 24 heures avant d'annoncer sa candidature aux élections cantonales,le président de ce syndicat a fait paraitre 'aux frais de la collectivité) un magnifique document en quadrichromie expliquant tout ce qu'il a fait et surtout que les travaux allaient commencer aux "canaux".
A meilleure preuve,il a fait les appels d'offres ,attribué les marchés et signer toutes les pieces,il a engagé la collectivité sur plusieurs millions d'euros....
Sauf qu'il a obtenu des subventions du département et de la région et qu'il a engagé des fonds publics sans avoir la maitrise des sols,
sauf que les travaux n'ont pas commencé en juin ,ni en septembre,
sauf qu'une réunion de crise au syndicat nous a révélé que tout cela était du a l'interprétation très personnelle du président de la loi et que la préfecture a bien été contrainte de le lui rappeler.
Ce jour-là,le choix était simple :rien n'était possible, sauf une enquête pour obtenir une déclaration d'utilité publique,ce qui est très long et parfois hasardeux.
ce jour-là ,j'ai demandé un mois pour essayer de trouver un accord amiable,cela m'a été refusé,c'est dommage, car dès le 15 octobre nous aurions su si il y avait d'autres voies que le contentieux.On pourra dire après que je suis hostile au projet..
Ce refus sectaire n'est pas a l'honneur de ceux qui l'ont opposé.
Au résultat ,nous nous retrouvons en février avec une enquête publique pour créer une servitude d'inondation,nous verrons ce que cela donne, mais je suis ,a nouveau stupéfait,par les méthodes ,je passe sur les omniprésences des uns et des autres, qui dramatisent la situation,je suis, par contre, un peu surpris que le,matin,même où s'ouvre l'enquête publique, l'entreprise chargée des travaux soit déja sur le terrain en repérage comme si cette procédure n'était que de pure forme.
C'est maladroit et témoigne du peu de respect du calendrier des procédures,cela explique,a lui seul, les conflits personnels qui ont abouti a cette situation de blocage.
Je comprends les associations de riverains qui appellent a aller signer auprès du comissaire enquêteur,je suis plus étonné de celles qui, sous couvert d'environnement, sont directement concernés et servent de bras armé.
je pense que la procédure va suivre son cours normalement et que tout ce déploiement de tracts et d'effets de manches laisse un sentiment d'inquiétude qui n'est pas sain,je sais que c'est la pratique habituelle,il n'empeche...une petite photo des entreprises sur le terrain au moment ou je passais ...
les commentaires qui vont suivre ce post en seront la démonstration.
Quoi de neuf ?
Rappel des épisodes précédents : le syndicat de l'hydraulique a décidé de réaliser toute une série d'ouvrages pour préserver les habitations des inondations,l'ouvrage majeur se situe au lieu dit "les canaux".
Le temps n'est plus à discuter du bien fondé du choix du site,cela a été voté et l'on sait que les élus ne font jamais n'importe quoi.
Là ,ou cela devient plus gênant c'est que 24 heures avant d'annoncer sa candidature aux élections cantonales,le président de ce syndicat a fait paraitre 'aux frais de la collectivité) un magnifique document en quadrichromie expliquant tout ce qu'il a fait et surtout que les travaux allaient commencer aux "canaux".
A meilleure preuve,il a fait les appels d'offres ,attribué les marchés et signer toutes les pieces,il a engagé la collectivité sur plusieurs millions d'euros....
Sauf qu'il a obtenu des subventions du département et de la région et qu'il a engagé des fonds publics sans avoir la maitrise des sols,
sauf que les travaux n'ont pas commencé en juin ,ni en septembre,
sauf qu'une réunion de crise au syndicat nous a révélé que tout cela était du a l'interprétation très personnelle du président de la loi et que la préfecture a bien été contrainte de le lui rappeler.
Ce jour-là,le choix était simple :rien n'était possible, sauf une enquête pour obtenir une déclaration d'utilité publique,ce qui est très long et parfois hasardeux.
ce jour-là ,j'ai demandé un mois pour essayer de trouver un accord amiable,cela m'a été refusé,c'est dommage, car dès le 15 octobre nous aurions su si il y avait d'autres voies que le contentieux.On pourra dire après que je suis hostile au projet..
Ce refus sectaire n'est pas a l'honneur de ceux qui l'ont opposé.
Au résultat ,nous nous retrouvons en février avec une enquête publique pour créer une servitude d'inondation,nous verrons ce que cela donne, mais je suis ,a nouveau stupéfait,par les méthodes ,je passe sur les omniprésences des uns et des autres, qui dramatisent la situation,je suis, par contre, un peu surpris que le,matin,même où s'ouvre l'enquête publique, l'entreprise chargée des travaux soit déja sur le terrain en repérage comme si cette procédure n'était que de pure forme.
C'est maladroit et témoigne du peu de respect du calendrier des procédures,cela explique,a lui seul, les conflits personnels qui ont abouti a cette situation de blocage.
Je comprends les associations de riverains qui appellent a aller signer auprès du comissaire enquêteur,je suis plus étonné de celles qui, sous couvert d'environnement, sont directement concernés et servent de bras armé.
je pense que la procédure va suivre son cours normalement et que tout ce déploiement de tracts et d'effets de manches laisse un sentiment d'inquiétude qui n'est pas sain,je sais que c'est la pratique habituelle,il n'empeche...une petite photo des entreprises sur le terrain au moment ou je passais ...