S'il est un sujet imporatnt,caricaturé,instrumentalisé et pas vraiment sexy ,c'est bien celui des logemesnt sociaux,c'est encore moins la saison d'en parler,alors que la température remonte et que la préoccuppation est plus a 'huile solaire et a l'huile d'olive des barbecues.
Une réunion des maires de communauté de communes et des services de l'état a été particulièrement occppée par ce sujet et je mesuis dit qu'entre l'image de ce dossier et sa réalité ,il y avait des fossés énormes.
tout d'abord,vous avouer que le terme "logements sociaux" me semble ringard,désuet,diviseur,je préférerais "logements abordables" ou "coup de pouce" comme nous avons fait a Janvry.
ensuite,nous entendons tous que nous manquons de logements sociaux et là,le probméme commence,les services de l'état nous confirment que 75% de la population est éligible aux logements sociaux...Nous n'en manquerons donc plus ,lorsque 75% des logements de nos communes seront des logements... publics ,ceci me rappelle étrangement un urbanisme qui n'a pas fait ses preuves derrière le rideau de fer.
Ainsi,il me semble évident que les critères d'attribution sont trop larges et surtout ,comme je l'écris depuis 20 ans,qu'il est inadmissible que des gens qui ont vu leur situation financière évoluer confortablement, le nombre de leurs enfants quitter le domicile continuent a bénéficier de logements attendus par d'autres.
S'il est considéré comme cruel de demander a des gens de quitter le logement où ils ont passé une partie de leur vie ,alors il faut leur vendre et avec ces sommes en reconstruire d'autres.
L'aide des collectivites pour le logement ne peut pas conduire a permettre a des gens dont les revenus sont confortables de bénéficier de loyers bas et d'appartemenst parfois surdimensionnés.
Ceci semble une évidence,mais est toujours resté "lettre morte" d'autant plus que les "bailleurs sociaux" adorent ces locataires sans histoire,et qui payent rubis sur l'ongle.
autre point de curiosité,un logement social n'est pas considéré en tant que tel si il n'a pas suivi le long cheminement de financements complexes et les validations des uns et des autres.
Autrement dit sur la commune de janvry ,où il existe six logements a prix modiques ,de l'ordre de 240 euros pour 55M2,ce "parc" n'a aucun existence légale et n'est pas reconnu en tant que tel.soit il y a eu des financements d'état et des procédures et cela est intégré soit cela ne rentre pas dans le chiffres .
Plus curieux sur limours ,les logements de lar(ésidence pour eprsonnes agées rentrent dans le nombre de logements sociaux de la commune mais pas ceux de la reisdence pour personnes agées de briis sous forges...Quand vous interpellez les autorités sur ces "curiosités" les regards se ferment et le silence s'installe.
Ceci n'est pas neutre ,car l'état demande,exige une production de ce genre de logements,les collectivités voient leurs aidesproportionnées a leur nombre.
Autre curiosité,des villes qui bénficient d'aides très importantes grace au grand nombre de logements sociaux sur leur territoire ,et puis ,a bien y regarder ,est il normal que les logements du ministère du budget ou de l'intérieur pour leurs fonctionnaires soient considérés comme des logemenst sociaux, ?
je crois qu'ils sont plus de 600 dans ce cas dans une commune comme Viry chatillon
Enfin,j'aimerai partager avce vous un exemple concret : lorsque nous avosn acheté le site de tdf aux molieres ,j'avais proposé que le petit immeuble collectif a l'entrée soit transformé en logements
je passe sur les péripéties qui ont conduit a perdre 10 ans,du fait de problémes d'egos d'elu qui disent en même temps que le logement social c'est urgent pour arriver au cas concret
lorsque'avec des opérationnels du logement social ,nous avons visité le batiment,plusierus questions se sont posées
quid des transports en commun et des services publics ?
question essentielle ,non pas posée par des élus qui se réfugieraient derrière ce prétexte pour ne rien faire mais de gens confrontés,quotidennement ,a la problématique
Leur choix est clair,un site qui n'est pas bien desservi n'est pas envisageable,ce qui condamne la plupart de nos petites communes,je dois vous dire mon soulagement d'entendre cela de la bouche de personnes non suspectes ,car j'ai trop entendu et lu instrumentalisé par les tenants d'une morale donneuse de lecon,l'idée que les petits villages ne voulaient rien faire.
en fait ,non seulement les opérateurs considérenet que ce serait une erreur mais que cela mettrrait les eprsonnes dans un e difficulté plus grande encore,c'est pourquoi ,des 1994,j'ai préconisé l'intercommunalisation de ce type de logements
deuxième étrangeté,la durée de réalisation d'un projet de cet ordre ;:l'opérateur en question m'annonce que raisonnablement,il faudra .. 4 ans !
Une vraie question ,là encore ,sur nos capacités de réactivité et de réalisation par rapport "a la vraie vie" .
Comment ne pas s'interroger sur le,parcours d'obstacles des procédures qui nous créent que des horzons si lointains ?
comment ne pas s'interroger sur la maison voisine ,en ruines, réhabilitée et divisée en quatre appartements ,en moins de 6 mois, par un particulier ?
Enfin ,derrière cette jungle complexe et rébarbative ,il y a des urgences ,celle des logements très sociaux,des logements d'urgence,de la réponse a faire tout de suite,pour éviter les marchands de sommeil,c'est celle-là qui,a mes yeux ,doit concentrer notre attention
comme il me parait difficile que les communes qui se mobilisent sur de tels sujets ne soient pas celles qui,dans des critères transparents,attribuent les logements.
désolé de ce billet,long et pénible mais j'ai tellement la sensation qu'un peu de bons sens permettrait de travailler plus juste,plus humain,plus efficace,
j'ai tellement la sensation d'un carcan phénoménal et d'un systéme que certains se sont approptriés a des fins peu louables que j'avais envie de vous en parler.