Que voulez vous,je n'arriverai pas a perdre ma capacité d'émerveillement,mon plaisir du vrai,
samedi soir, a la table des gaulois,après l'omelette aux truffes que j'ai cuisinée,il y avait l'agneau qui rotissait depuis le milieu d'après midi
les pommes de terre au lard et aux oignons,cuites dans l'athanor communal,ont mijoté plus de quatre heures jusqu' a être confites au point que,malgré la quantité gargantuesque,il en aurait presque manqué !
Des
tablées joyeuses,avec de bons regards que l'on croise,l'ami étienne et maryvonne,montés de Limours et qui, a chaque fois,expliquent qu'ils mangent ensemble depuis qu'ils sont mariés et
qu'ici,c'est avec les "gaulois qu'ils veulent être !"
et puis,un aveu ridicule,peut etre a vous faire,dans la vie publique,il y a tellement de violence,d'hypocrysie,de coups bas,de gens qui vous veulent du mal,que je dois avouer toujours ma surprise, et beaucoup plus, de sentir la preuve tangible qu'il y a aussi des gens qui me veulent du bien...
dimanche matin,ce moment simple et formidablement joyeux de la course aux oeufs ,un moment sans enjeu que celui des rires d'enfants, la sortie de zoé et d'arthur ,a peine nés et déja au milieu de lla mêlée joyeuse
Juste des momments comme je les aime,doux,tendres, heureux