Il est possible que je me répète mais cela n'a pas beaucoup d'importance,justin a modelé le paysage de la vallée entre briis et forges par son travail,chez moi ,dans le sud ,il vaait planté un arbre,un albizia,
je me souviens de lui suant sang et eau,pour creuser dans la caillasse et la terre rouge,voilà un prolongement de vie,de présence ,une sentinelle de la mémoire
terrible,cette marque vivante d'un être que l'on aimait et que l'on regardait comme si l'éternité des projets et des instants était devant nous
justin avce nicolas ont été les premiers "convoyeurs" de dromadaire,là encore ,la folie de transporter la ménagerie dans le sud ne serait peut être pas venue sans lui,désormais ne pas les avoir ici, semblerait étrange,mes "filles" s'en donnent a coeur joie et débrouissaillent a plaisir
et puisqu'il est question de nostalgie dans ce billet,c'est a la'aube que mes "chats de gouttière" revenaient de leurs escapades nocturnes et noctambules a visiter les lieux festifs de la cote ,le bruit du moteur ronflant pour avaler la cote de la colinne était le signe qu'ils rentraient a bon port,chargés de croissants pour un petit déjeuner qui précédait une ...matinée de "récupération" et moi,j'étais soulagé