Hier sur la plaine du déluge a Marcoussis,une trenatine de caravanes se sont installées dans un champ de luzerne,l'agriculuteur qui tentait de s'interposer en expliquant qu'il devait récolter la semaine prochaine a reçcu pourtoute réponse un violent choc au visage.
Après avoir été a l'hopital ,il s'est présenté a la maison, un énorme hematome a la pomette et une chemise ensanglantéé.
Au nom de quel droit,peut on détruire des récoltes,peut on frapper une homme ?
Quel impunité peut permettre de telles exactions ?
Quel message catastrophique est envoyé là,il y aura encore de bonnes ames,pour excuser,justifier et nourrir ainsi un peu plus les extrêmes.
La commune de marcoussis sur la quelle se sont déroulés les fait est ne régle avec la loi et posséde une aire,ainsi ceux qui seraient tentés de considérer que l'on peut faire justice soit-même n'ont même pas cet argument.
Il faut que chacun mesure combien l'escalade de violence constitue uen catastrophe,combien les menaces de mort qui ont été proférées hier sont inacceptables et augurent des lendemains noirs.
Peu a peu,les collectivités se mettent en régle,des aires sont construites grands frais,a l'instant ,où nous étions devant les monuments aux morts a célébrer la capitulation de l'allemagne nazie,a rappeler les millions de morts,les déportés juifs et tziganes,a quelques centaines de mètres ,la violence ordinaire se déroulait.
Aucun intolérable survenu il y a 60 ans, ne donne un blanc seing pour bafouer les lois de la république,a chaque fois qu'une communauté considére qu'elle peut s'exclure du droit commun,elle met en danger la démocratie,ne serait ce que par l'instrumentalisation qu'elle provoque.