dans mon programme de la semaine, j'ai fait le plus difficile puisque demain,a 19heures cela sera l'exposition pour commémoration de tien an'men,puis "le café du
samedi" samedi matin a limours au "café des sports" ,le salon art et artisanat a janvry,les élections européennes dimanche, et la la fete des mères.
aujourd'hui c'était moins festif,réveil a 5 heures pour etre sur d'etre a l'heure au conseil d'éat ou mon affaire d'inéligibilité était a l'ordre du jour.
le rapporteur a souligné que j'avais été élu au premier tour avec un score de près de 65 % sans aucun recours, a convenu de ma bonne foi (mais pas au sens de la loi), a convenu
que l'absence de remboursement était déjà une sanction importante,a convenu que les 24 heures de retard portaient sur week end de pentecôte,a convenu que la commission de comptes de campagne
avait validé mes comptes,a convenu que la future loi organique me donnerait raison etc....mais que malgré tout elle invitait les conseillers a rejeté mon pourvoi et a me déclarer
inéligible.
dans 15 jours la décision,c'est aussi la fin d'un cauchemar qui dure depuis 15 mois ou il a fallu faire bonne figure ,donner des rendez vous
sans jamais savoir si je serai conseiller général a l'instant de les honorer,entamer des projets sans etre sur de pouvoir les porter jusqu'au bout ,subir des réunions et des déplacements en se
demandant si c''etait utile,sentir les ailes des vautours me frôler pour savoir si j'étais toujours vivant.
Mazel tov ! a du s'écrier jerome guedj comme
il l'a fait publiquement quand il a su que mon ami francois durouvray avait perdu, beau travail a du ricaner gérad Larcher.
force est de constater que c'était la seule manière de me battre,mais ce n'est pas moi qui suis en cause mais les milliers de gens qui avaient fait ce choix.Je ne suis pas sur que la justice
donne une parfaite image d'elle même et que cela soit compréhensible par tous,quand bien meme le vote démocratique ne doit etre un argument définitif ,la voix d'un juge qui a tout le loisir de
valider cette élection pèse plus que celle de milliers de citoyens.