12 avril 2009
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Réveil matinal pour aller cacher les oeufs,les lapins et les poules en
chocolat entre deux et trois milles friandises a disséminer dans le bois de montmarre
.
l'année dernière,les "prédateurs" de 14 /15 ans avaient tout raflé sous le nez ébahi des petits mioches,forts de cette expérience nous avons délimité trois zones sur les quatre hectares, une pour les maternelles, , une pour les 5 /10 ans,et une autre pour ...les grands fauves !
vers dix heures moins le quart,ils sont arrivés avec leur petits paniers et leurs bottes en caoutchouc,certains parents avaient l'air beaucoup plus endormis que leurs enfants !
Il y avait quelques familles pas vraiment de janvry,qui se demandaient sans vouloir poser la question :si elles avaient le "droit" d'etre là ,comme si des enfants ne pouvaient pas se pousser un peu pour faire de la place et partager le plaisir !
Pendant que la horde sauvage et joyeuse envahissait le bois,les "grands" buvaient un café chaud avec ce sentiment étrange que ce soleil imprévu qui baignait le bois n'était pas tout a fait naturel.
Que cela énerve ou pas,a janvry,on a l'impression d'etre un peu en famille,ce qui touche l'un d'entre nous et surtout un enfant nous atteint tous,alors ce matin ,il y a une petite fille que nous couvions tous du regard et dont les mome
nts de joie étaient précieux a nos yeux
chocolat entre deux et trois milles friandises a disséminer dans le bois de montmarre
.l'année dernière,les "prédateurs" de 14 /15 ans avaient tout raflé sous le nez ébahi des petits mioches,forts de cette expérience nous avons délimité trois zones sur les quatre hectares, une pour les maternelles, , une pour les 5 /10 ans,et une autre pour ...les grands fauves !
vers dix heures moins le quart,ils sont arrivés avec leur petits paniers et leurs bottes en caoutchouc,certains parents avaient l'air beaucoup plus endormis que leurs enfants !
Il y avait quelques familles pas vraiment de janvry,qui se demandaient sans vouloir poser la question :si elles avaient le "droit" d'etre là ,comme si des enfants ne pouvaient pas se pousser un peu pour faire de la place et partager le plaisir !
Pendant que la horde sauvage et joyeuse envahissait le bois,les "grands" buvaient un café chaud avec ce sentiment étrange que ce soleil imprévu qui baignait le bois n'était pas tout a fait naturel.
Que cela énerve ou pas,a janvry,on a l'impression d'etre un peu en famille,ce qui touche l'un d'entre nous et surtout un enfant nous atteint tous,alors ce matin ,il y a une petite fille que nous couvions tous du regard et dont les mome
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