24 décembre 2008
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Je ne sais pas ce qu'il en est pour julien dray,son affaire de montre payée en espèces, il y a quelques années,témoignait du caractère compulsif de ses achats disproportionnés a un train de vie
normal.
Sartre disait qu'il ne "fallait pas désespérer Billancourt".JUJU adulé ,admiré,désiré par toute une jeunesse groupie,va désespérer une génération de quadra qui lui payaient jusqu'a ses stylos, juju a perdu des cheveux en prenant du poids,et a, peu a peu, joué les hommes de compromis,la ligne est très étroite entre compromis et compromission.
J'en veux pour preuve que d'avoir accepté,pour ma part, d'accompagner le président du conseil général au canada,cela a provoqué une forme de sympathie qui va m'empêcher certaines virulences et cela m'énerve.
Il y a prescription,alors je peux raconter cette histoire : un jour que je me rendais au conseil constitutionnel,je me retrouve dans le hall avec Julien Dray que je n'avais jamais rencontré,je le reconnais mais lui, ne m'adresse pas un regard.
l'huissier me dit "bonjour,mr SCHOETTL" et nous nous engouffrons J.dray et moi dans l'ascenseur.
A peine les portes fermées, julien Dray me dit "vous pourriez pas dire a votre frère de se calmer ,il organise un de ces merdiers en Essonne...faut pas qu'il soit surpris qu'on cherche a lui faire payer",
je dois vous avouer que je rigolais doucement,jusqu'au moment ou je lui ai répondu : "monsieur le député,je ne suis pas le secretaire général du conseil constitutionnel ,mais le frère en question !" avec beaucoup d'humour et de lucidité,il m'a rétorqué en riant :"cela te prouve a quel point ,je m'occupe peu des affaires essonniennes !".
Sartre disait qu'il ne "fallait pas désespérer Billancourt".JUJU adulé ,admiré,désiré par toute une jeunesse groupie,va désespérer une génération de quadra qui lui payaient jusqu'a ses stylos, juju a perdu des cheveux en prenant du poids,et a, peu a peu, joué les hommes de compromis,la ligne est très étroite entre compromis et compromission.
J'en veux pour preuve que d'avoir accepté,pour ma part, d'accompagner le président du conseil général au canada,cela a provoqué une forme de sympathie qui va m'empêcher certaines virulences et cela m'énerve.
Il y a prescription,alors je peux raconter cette histoire : un jour que je me rendais au conseil constitutionnel,je me retrouve dans le hall avec Julien Dray que je n'avais jamais rencontré,je le reconnais mais lui, ne m'adresse pas un regard.
l'huissier me dit "bonjour,mr SCHOETTL" et nous nous engouffrons J.dray et moi dans l'ascenseur.
A peine les portes fermées, julien Dray me dit "vous pourriez pas dire a votre frère de se calmer ,il organise un de ces merdiers en Essonne...faut pas qu'il soit surpris qu'on cherche a lui faire payer",
je dois vous avouer que je rigolais doucement,jusqu'au moment ou je lui ai répondu : "monsieur le député,je ne suis pas le secretaire général du conseil constitutionnel ,mais le frère en question !" avec beaucoup d'humour et de lucidité,il m'a rétorqué en riant :"cela te prouve a quel point ,je m'occupe peu des affaires essonniennes !".