on dit que l'histoire se répète si l'on n'en tire pas les leçons ,je me suis permis de reprendre des interventions d'Adolf Hitler en 1938 au moment où il se préparait a envahir l'Autriche e ta juste changer les noms : Reich/Russie, Hitler/ poutine , Autriche / Ukraine, mais rien dans le corps du texte
« Vous avez tout fait pour empêcher une politique amicale […]. L'histoire de l’Ukraine n'est qu'un acte ininterrompu de haute trahison. […] Ce paradoxe historique doit maintenant parvenir à son terme, qui devrait être depuis longtemps échu. Et je puis vous l'affirmer ici, : je suis absolument résolu à ce que cela cesse. Le Russie est l'une des grandes puissances et personne n'osera élever la voix s'il décide de régler le problème de ses frontières. »
/Vladimir poutine ? / non Adolf Hitler au chancelier Schuschnigg
« Plus de dix millions de russes vivent dans deux des États qui ont une frontière commune avec nous. Pour une puissance mondiale, il est intolérable de savoir qu'à ses côtés des frères de race subissent à chaque instant les plus cruelles souffrances parce qu'ils se sentent solidaires de la nation tout entière. C'est a la Russie de protéger les peuples qui ne sont pas en mesure d'assurer, par leur propre effort, le long de nos frontières, leur liberté politique et spirituelle. »
Vladimir poutine ? / non Adolf Hitler
En Russie, l'’entrée dans le dontbass propulse la cote de popularité de poutine à des sommets sans précédent. Le succès de l'annexion provoque chez le dictateur « un regain d'assurance, la certitude qu'il avait été élu par la providence, la conviction qu'il ne pouvait pas se tromper ». La faiblesse des réactions à l'étranger à la suite de l'annexion conduit poutine à conclure qu'il peut utiliser des méthodes plus agressives dans sa marche pour élargir la russie , ce qu'il fera plus tard lors de l'annexion du territoire des Sudètes,
commentaires bfm ? / non presse internationale en 1938
Les réactions a l’étranger ,en Angleterre par exemple de neuville chamberlain premier ministre
« J'imagine que, suivant les tempéraments des uns et des autres, les événements que nous avons à l'esprit aujourd'hui peuvent susciter des regrets, de la tristesse et peut-être de l'indignation. Ils ne peuvent être vus par le gouvernement de Sa Majesté avec indifférence ou sérénité. Ils auront des conséquences qui ne peuvent encore être mesurées. Leur résultat immédiat est l'intensification du sentiment d'insécurité en Europe. […] Ce n'est pas le moment de prendre des décisions hâtives ou de prononcer des mots imprudents. Nous devons analyser la nouvelle situation rapidement, mais de sang-froid