alors que nous nous battions contre la réforme des rythmes scolaires ,nous nous sentions bien esseulés ,abandonnés par toutes nos instances
en essonne le president de l'union des maires trouvait cela formidable,
le président de l'association des maires ruraux ne trouvait rien a redire,
et quant a francois baroin ,malgré nos messages ,le président des maires de france ne répondait pas a nos courriers et refusait notre demande d'audience
nous avions prévenu que cette réforme catastrophique pour les rythmes de l'enfant serait une catastrophe pour les budgets commumaux considérant que l'état se dechargeait de ce poids financier sur les collectivités tout en baissant ses dotations ,tout ce que nous avions annoncé a lieu et tel les carabiniers voilà francois baroin qui le découvre deux ans plus tard et s'en émeut ,cela me met en colère
rien n'y a fait ,on nous a abandonné avec un certaine morgue et ces instances ont considéré que les aides promises seraient suffisantes ....
alors quand je lis le parisien ,je trouve que bonhomme a du culot ,et qu'il n'a pas su anticiper ,pour des raisons personnelles j'avais quelque estime pour lui
Rythmes scolaires : le cri d'alarme de François Baroin, président des maires de France
Dans une interview au Parisien-Aujourd'hui en France à paraître mardi, François Baroin, président de l’association des maires de France et maire (LR) de Troyes, demande au gouvernement une rallonge budgétaire pour consolider les nouveaux temps scolaires. « Il y a un problème financier. On ne peut pas demander à des petites communes rurales de porter à bout de bras un aménagement de cette nature. Le coût est très supérieur à ce qui avait été annoncé. Pour nous, c’est une négociation à 640 millions d’euros ».
Il ajoute : « L’etat a décrété un aménagement des rythmes, il ne serait pas choquant qu’il paye 100% de la réforme qu’il a imposée ».
François Baroin rend public le résultat de l’enquête réalisée auprès de 5500 communes sur cette réforme. « La réforme est jugée inadaptée pour les classes de maternelles. La fatigue des tout petits est incontestable. Le retour à l’école le mercredi matin a destabilisé tout le tissu associatif local ».