il était député ,il ne l'est plus
il a des ennuis judiciaires dus essentiellement, a mes yeux, a des pratiques thérapeutiques quasi obsessionnelles et qui ne sont pas adéquates avec les fonctions qu'ils occupaient ou occupent
la justice tranchera, mais il prête ainsi le flanc a tout, d'autant plus que si comme on le ditque le pouvoir est érotisant, il peut aussi distiller le sentiment de puissance et d'impunité si l'on n'y prend pas garde,
ajoutons cela aux massages du pied et voilà un cocktail plutôt détonnant et risqué quand on est un homme ..public
il suffit que Jérôme Guedj possède un hôtel particulier a Arles qu'il loue une belle somme par semaine pour boucler ses fins de mois qui ne sont pas difficiles pour qu'on en parle ,d'autant plus, quand le sexe est de la partie
mauvaise séquence judiciaire,
mauvaise séquence électorale aux législatives
voilà que l'épisode pour gagner la présidence du conseil départemental donne un écho médiatique national a ce naufrage
comme dans un mauvais film où l'on tombe dan les sables mouvants,chacune des agitations semblent le voir s'enfoncer un peu plus
si la campagne des régionales a semblé lui donner a nouveau une certaine légitimité locale ,ses interventions publiques endossant systématiquement le costume de président du département étaient maladroites voir grossieres
mauvaise séquence électorale pour rester le "patron" de la fédération des "les républicains" ,battu par stéphane Baudet ,fraichement élu au conseil régional et maire de courcouronnes,
ainsi celui qui pensait que ,légitimement, il pouvait espérer de la reconnaissance pour avoir ,aux élections départementales ,éliminé tout ce qui pouvait être écarté de ce qui n'était pas "les républicains" bon teint, et avoir fait de même aux régionales,a du l'avoir plutot amer comme si il ne savait pas que dans son monde ,la mémoire n'est que négative
comme l'amertume est mauvaise conseillère ,voilà qu'au conseil départemental il refuse de partager la position assumée collectivement par la nouvelle majorité et intervient lors du débat sur le budget donnant raison publiquement sur bien des points aux socialistes et préférant être dans le déni de réalité et entrainer deux autres conseillers a ne pas voter le budget
on aimerait dire a la majorité actuelle du conseil, qu'avec des amis comme cela ,on n'a pas besoin d'ennemis
que penser d'une formation politique où un de ses principaux responsables n'assume pas les choix décidés majoritairement ? tron ,taubira même combat ?
en tout cas ,on sent une dérive ,un brouillard brouillon qui entoure les actes de georges tron ,dernier acte de la séquence ,le voilà exclu de la majorité actuelle et contraint a former un groupuscule a l'assemblée départementale
grandeur et décadence d'un homme d'appareil qui a connu l'adrénaline d'être ministre et qui se retrouve a se satisfaire d'une marginalité d'amertume
soutenu par serge dassault et franck marlin ,s'il a un ou deux genoux a terre,il sait qu'en politique ,il faut que le coeur cesse de battre pour être mort et entérré