c'est un classique de ce blog mais ,de temps a autres ,je relève les compteurs de ce blog conteur
hier,vous lui faisiez passer la barre des 550 000 visiteurs dit "uniques" ce qui veut dire qui si dans une journée par pur masochisme vous reveniez plusieurs fois ,vous ne seriez compté qu'une seule
et nous dépassons les 1 million deux cent soixante dix mille pages lues
2250 billets écrits avec les deux doigts et mal orthographiés
près de 10 000 commentaires sans compter, bien sur, ceux plus nombreux encore posés sur facebook
je salue tous ceux qui lisent par devoir professionnel ou politique,pour savoir,pour renseigner leur hierarchie,cela me permet de faire passer des messages aux gens qui ne m'aiment pas
,je m'amuse d'apprendre que dans certaines collectivités départementales ,un salarié est chargé de "capturer" mes articles et de les photocopier pour ne pas multiplier les lecteurs directs et donc l'audience ...
merci a nouveau de marcher ensemble sur ce chemin buissonnier et j'espère iconoclaste
cela ne se voit peut être pas mais depuis quelques temps,j'essaie de mettre les lettres dans le bon sens pour qu'elles forment des mots intelligibles a défaut d'être intelligents
mon blog pour des raisons techniques a disparu une petite semaine et j'ai mesuré combien ce partage me manquait
je pars a l'instant vers le sud faire une petite pause,j'essaierai de prendre le temps pour un papier sérieux sur le rejet de notre recours en conseil d'état sur les rythmes scolaires,il faut avouer que c'est un méchant cadeau dont je me serai passé a la veille de noel
le formidable cadeau aura été la vague de messages par tous les canaux possibles qui m'ont été envoyés a l'annonce de ce résultat ,une famille est née,il n'y aura pas eu de péril jaune,mais quelque chose d'inéffable,de subliminal mais aussi de très chaleureux a tissé sa toile
allez je prends la route ,je vous embrasse,
je vous souhaite de belles fêtes,hier soir,devant les yeux illuminés de la merveille ,je pensais au fils d'irene qui fêtait noel ,là bas au mali sous l'uniforme,elle qui est si bileuse ,profitons chacun de nos bonheurs ,car nous avons l'imperieuse obligation de les partager